Lors d’une garden-party, dans le parc d’un petit château, je fais une sorte de présentation très succincte entre les anciennes propriétaires du lieu et la nouvelle.
A l’orée d’une forêt, un troupeau de chevaux sauvages émerge au galop, conduit par une femme.
Dans une cuisine sombre et ancienne, trois bébés sont réveillés de leur sieste par du bruit que je fais, une femme arrive et m’aide à les rassurer. Un des bébés est sous la table, couché dans un couffin et sous la nappe. Il reçoit dans la bouche quelques gouttes d’un liquide que j’ai renversé sur la table.
Je remue un feu : le foyer est en hauteur, et je retourne de gros morceaux de charbon de bois incandescent, j’aère et demande à quelqu’un d’aller chercher mon compagnon pour qu’il m’aide, qu’il me dise ce que je dois mettre à cuire.
De vielles facettes du féminin prennent congé et une nouvelle s’exprime, beaucoup plus sauvage. La rêveuse peut, sans volonté, de par son inconscient, nourrir, après qu’elles soient devenues conscientes, des énergies toutes nouvelles, des bébés d’invités à cette fête, dans cette cuisine ancienne, laissées par ces énergies anciennes qui ont miss en place des processus encore utilisables. Mais c’est à la rêveuse de savoir, en mobilisant son masculin, ce qui va nourrir les processus de transformation en cours.