Je remarque l’avocat. IL a pris mon affaire en mains. Il est prestigieux, traite des affaires importantes, je suis rassurée.Il est dans un petit bureau à ma gauche.Je lui donne mon avis suer la manière de rédiger. Je lui dis qu’il ne faut pas trop expliquer mais rester sur les faits. Il me donne raison et me dit de me joindre à lui pour assurer ma défense. Là ça m’embête un peu, j’avais d’autres choses de prévues. Je crois qu’il s’agit de revenir sur une affaire d’il y a 7-8 ans quand trois garçons m’avaient agressé pour voler mon sac. Il y a eu un petit dédommagement mais il peut à nouveau plaider ou défendre mon cas.
La rêveuse, une femme d’une cinquantaine d’années, qui est dans une démarche jungienne depuis plusieurs années, fait ce rêve alors qu’elle vit une situation familiale difficile, avec son mari et ses deux enfants, situation par rapport à laquelle elle a réussi à prendre un peu de distance mais qui la contraint toujours. Et là elle rencontre un homme qui va s’occuper de ses affaires. Il est avocat, expérimenté, et elle est rassurée. Il lui demande de se joindre à lui, c’est à dire d’être active dans sa défense. Il s’agit de reconsidérer les dédommagements qu’elle doit percevoir pour lorsqu’elle a été agressée, qu’on a atteint à son identité. Cet avocat est une figure d’Animus positif, qui la guide pour que son identité, sa nature profonde, soit reconnue. Il faut que la rêveuse se mobilise, même si elle ne pensait pas que c’était utile en ce moment de sa vie, si elle n’était pas vraiment consciente de cette nécessité, avant son rêve et son interprétation.
L’Animus prend soin du féminin dans sa relation au masculin.